Après avoir vu ce qui s'est passé lors de la rencontre CSC-JSK, je serai bien tenté de dire " Un ça va, mais trois, rebonjour les débats" après les tribulations d'un arbitrage qui a encore remis sur le tapis ce sujet sensible qui a suscité les vives réclamations légitimes du club de la Kabylie. Une situation hélas trop récurrente pour être banalisée. Et fait encore plus navrant, lorsque l'auteur de la bourde arbore le prestigieux badge d'international et qu'il était aidé par la supposée précieuse et infaillible assistance vidéo. Une conjonction de responsabilité partagée suite à une situation de penalty indiscutable sur laquelle ni l'arbitre ni la VAR n'ont percuté pour des raisons incompréhensibles. Alors en admettant la présomption d'impartialité́ des uns et des autres, il est indéniable qu'il existe une grande carence de compétences tant sur les arbitres du terrain que sur ceux de la VAR. A moins qu'il ne s'agisse simplement d'un problème ophtalmologique...
R. B.