Étions-nous dans le fantasme fantaisiste lorsque nous avions exprimé des appréhensions sur de probables dérives d'arbitrage qui viendraient agrémenter cette CAN ? Oh que nenni, car la compétition vient tout juste de débuter et voilà que le factuel nous démontre déjà que le naturel revient encore au galop, confirmant le bon vieil adage illustrant cette fatalité du jeu de coulisses. Réalité implacable ou présomption d'inadvertance ? Les faits sont cependant têtus lorsqu'on voit un arbitre comme celui du match Maroc-Mali qui a dû enlever une poussière dans l'œil pour, après moult palabres, se décider enfin à aller consulter la VAR pour un "braquage" flagrant dans la surface de réparation qui n'avait point besoin d'un microscope pour être détecté. Certes, il est dit que "l'erreur est humaine", mais la citation indique également que persévérer est diabolique.
Et quitte à verser dans le complotisme, on peut rester perplexe sur le fait aussi que l'usage extensible à satiété du temps additionnel comme l'a fait ce referee nous laisse imaginer le pire comme plat de résistance.
R. B.