Décidément, l’arbitre international Mohamed Benouza, n’a pas fini de surprendre par ses décisions. Hier, dans le match des demi-finales de la coupe d’Algérie qui a mis aux prises l’ESS avec le MOB il a pris de mauvaises décisions et aura été auteur d’une prestation faible pour ne pas dire catastrophique. Il aura littéralement égorgé le MOB qui n’a pas démérité dans le match d’hier et qui s’est battu avec bravoure contre un géant d’Afrique sur son propre terrain. Il faut dire que l’ESS n’avait pas besoin d’un coup de pouce dans ce match. Ceci étant, Benouza commence à devenir célèbre par ses décisions à sens unique. Expulsant Zerdab avant même la fin de la première période, il aura obligé les Mobistes à jouer plus d’une heure à 10 et encore cela ne s’est pas fait ressentir sur le terrain et les joueurs ont étés solidaires. Hormis l’expulsion, le referee étonnera tout le monde en sifflant un penalty que seul lui a vu et que ratera Djahnit. Un penalty qui nous rappelle un certain match sur cette même pelouse du 8- Mai-1945 qui avait mis aux prises en demi-finales de la coupe l’ESS avec l’USMH durant la saison 2012-2013. Ce jour-là, les Harrachis menaient au score grâce à un but de Ziane-Chérif, et Benouza avait généreusement accordé deux penaltys aux Ententistes pour les voir aller en finale. Une nouvelle fois, Benouza s’est distingué par un arbitrage qu’on pourrait qualifier de partial. Passant à côté de son match, il n’est pas étonnant qu’il s’attire les foudres des dirigeants et des supporters du MOB, heureusement que ces derniers ont remporté la victoire après les tirs au but, sinon les choses auraient pu s’envenimer en raison d’un arbitrage jugé par beaucoup vicieux, voire même à sens unique.
R. H.
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