JSK : La clause qui bloque Aït Djoudi

L’entraîneur Azzedine Aït Djoudi n’a pu convaincre la direction du MAS de Fès de lui accorder sa lettre de libération.

Cela ne fera que compliquer son cas, d’autant que son président Merouane Bennani n’est pas prêt à le lâcher. S’étant déplacé à Fès dans le but de trouver un terrain d’entente avec ses responsables, le nouvel entraîneur de la JSK a été contraint de rentrer à Tizi Ouzou sans avoir réglé sa situation. Son employeur n’a rien voulu savoir. Selon lui, il aurait dû déposer un préavis de démission deux mois avant la fin de l’exercice comme il est stipulé dans le contrat signé par les deux parties. Aït Djoudi lui a répliqué que s’il a décidé de quitter le MAS de Fès en ce mois de juin, c’est pour des raisons familiales. Malgré ça, son président a apposé un niet catégorique. Aït Djoudi, qui n’est pas né de la dernière pluie, sait que même s’il est lié pour une autre saison avec le MAS de Fès, il peut toujours trouver une faille lui permettant d’entraîner la JSK sans attendre le OK du président Bennani. Il s’est entendu avec lui pour renégocier son contrat à la fin de la première saison et il aurait exigé un salaire astronomique pour poursuivre son aventure avec le MAS de Fès. Rien n’a filtré sur les deux réunions qu’il a tenues avec son président, mais selon les échos qui nous sont parvenus, Aït Djoudi aurait demandé le double du salaire qu’il percevait la saison dernière. Ses dirigeants n’auraient pas accepté ses conditions, ce qui les obligerait à le laisser partir malgré leur souhait de le garder la saison prochaine. 

Jusqu’à hier, c’est toujours le statu quo. Sa direction lui a payé ses deux derniers mois de salaire, mais elle lui doit plusieurs primes dont celle de la troisième place. Aït Djoudi, qui a saisi officiellement sa direction au début du mois de juin pour qu’elle le paye, est très confiant quant à l’issue de cette affaire. On ne sait pas si la direction du MAS de Fès va saisir la FIFA ou pas, mais si elle le fait, Aït Djoudi risque de se retrouver dans une situation très délicate.

Mohamed A.  

 

Réunion Hannachi-Aït Djoudi aujourd’hui 

Afin de faire le point sur le recrutement, l’entraîneur Azzedine Aït Djoudi tiendra une réunion de travail avec le président Hannachi aujourd’hui au siège du club. Aït Djoudi réglera aussi quelques détails concernant sa venue à la JSK. Il a donné son accord de principe au président Hannachi, mais il n’a pas encore négocié son salaire. Le président Hannachi va certainement lui proposer une mensualité alléchante, car, suite à l’insistance des dirigeants marocains à le garder, il doit l’estimer à sa juste valeur. Il aura probablement droit à un salaire supérieur à 160 millions de centimes par mois. Aït Djoudi profitera aussi de sa réunion avec Hannachi pour trouver un accord concernant le retour de Hamenad. Le nouvel entraîneur n’a pas l’intention de travailler sans Hamenad et Gaci.

M. A.                  

Aït Djoudi : «Même sans le bon de sortie de Fès, j’entraînerai la JSK»

L’entraîneur Azzedine Aït Djoudi est rentré à Tizi Ouzou sans sa lettre de libération. Le président de MAS de Fès, Merouane Bennani, s’oppose catégoriquement à son départ. Deux rencontres n’ont pas permis au deux hommes de trouver un terrain d’entente. L’un comme l’autre campe sur sa position. Raison pour laquelle, ils ont décidé de ne pas se réunir dans la journée de jeudi comme prévu. Meme s’il n’a pas eu le bon de sortie de sa direction, Aït Djoudi a réaffirmé hier sur les ondes de la chaine 1 qu’il est bel et bien l’entraîneur de la JSK. «Effectivement, je n’ai pas trouvé un accord avec mes responsables. Je leur ai fait savoir que pour des raisons familiales, je dois retourner en Algérie, mais ils n’ont rien voulu savoir. Je me suis entendu sur tout avec le président Hannachi et même si je n’ai pas eu mon bon de sortie, je suis l’entraîneur de la JSK», a annoncé hier Aït Djoudi sur les ondes de la chaine 1.

«J’ai dit à Bennani que je dois rentrer en Algérie  pour des raisons familiales»

N’arrêtant pas de dire qu’il ne trouvera aucune peine pour récupérer sa lettre de libération, Aït Djoudi a beau essayer de convaincre son employeur Merouane Bennani, mais en vain. Il est allé jusqu’à lui dire que s’il a décidé de laisser tomber le MAS de Fès, c’est pour être auprès de sa famille. Mais cela n’a pas infléchi le président Merouane Bennani, lequel lui a rétorqué qu’il n’a pas le temps pour chercher un entraîneur. «J’ai dit à mon président que si je rentre en Algérie, c’est pour des raisons familiales. Il n’a pas pris en compte mon cas. Moi aussi, j’ai decidé de ne pas rester au MAS de Fès quoi qu’il arrive», soulignera Aït Djoudi.

«Le MAS de Fès me doit l’équivalent de 6 mois de salaire en primes»

Même s’il n’a pas respecté le contrat le liant au MAS de Fès en décidant de rentrer en Algérie pour entraîner la JSK, Aït Djoudi estime qu’il ne risque rien. «Le MAS de Fès me doit l’équivalent de 6 mois de salaire en primes. J’aurais aimé que la séparation se fasse à l’amiable, malheureusement mes dirigeants n’ont pas voulu me laisser partir. Ils n’ont pas laissé d’autre choix que de rentrer sans leur bon sortie.»

«La rencontre que je devais avoir avec mon président jeudi dernier, a été annulée»

Le séjour d’Aït Djoudi à Fès ne s’est pas passé comme il le souhaitait. Il espérait après deux réunions infructueuses convaincre son président à lui remettre sa lettre de libération avant de regagner la ville de Tizi Ouzou, mais la troisieme entrevue qu’il devait avoir avec lui jeudi dernier a été carrément annulée. «Je devais rencontrer mon président jeudi dernier afin de tenter de trouver une solution, mais l’entrevue n’a pas eu lieu. On s’est réuni à deux reprises, mais sans parvenir à un accord.»

«Bennani m’a donné rendez-vous pour la reprise des entraînements»

Croyant qu’il tient son entraîneur en refusant de lui remettre son bon de sortie, le président Merouane Bennani lui a donné rendez-vous pour la reprise des entraînements qui aura lieu le 24 de ce mois. «Je comptais sur sa compréhension pour rentrer au pays, mais Bennani m’a donné rendez-vous pour la reprise des entraînements prévue pour le 24 de ce moi. Cependant, ma décision est prise puisque j’ai décidé à entraîner la JSK quoi qu’il arrive», a conclu Aït Djoudi.

N. Boumali  

 

Bouaïcha rencontrera Hannachi demain

Par Karim A.

Le milieu de terrain Djamel Bouaïcha aura une réunion  avec le président Hannachi demain pour avoir ses papiers. Mis sur la liste des libérés, il attend avec impatience de récupérer sa lettre de libération. Contacté par le CABBA et le CRB, il n’a pas pu négocier vu que son sort n’était pas entre ses mains. Attendant depuis maintenant plusieurs journées la régularisation de sa situation, la rencontre de demain avec Hannachi sera décisive. Ayant beaucoup souffert tout au long de la saison vu qu’il était souvent marginalisé, Bouaïcha optera pour un autre club la saison prochaine. Pétri de qualités, l’ex-pensionnaire du PAC veut opter pour un club qui lui permettra de jouer. Ainsi, tout porte à croire que son cauchemar prendra fin en récupérant ses papiers, ce qui lui permettra de négocier avec l’un des clubs qui l’ont sollicité.

 

Il payera une somme d’argent

A l’instar de Boulaincer et Bouchouk, qui ont payé leur lettre de libération, le même sort attend pratiquement Bouaïcha. En effet, lié au club phare de Kabylie pour une autre saison, il doit encore de l’argent au club. On n’écarte pas la possibilité d’avoir ses papiers en contrepartie d’avoir sa lettre de libération, ce qui lui permettra d’opter pour un  autre club de son choix. Reste à savoir maintenant pour quel club optera Bouaïcha, sachant que le CRB, le CABBA et d’autres clubs le veulent en prévision de la saison prochaine.

«Je veux régler ma situation définitivement»

Joint par nos soins, Bouaïcha nous a affirmé qu’il attend avec impatience de récupérer ses papiers pour pouvoir trancher sur sa prochaine destination. «En principe, je rencontrerai le président Hannachi ce dimanche pour régulariser ma situation. J’ai hâte de régler mon cas pour pouvoir trancher sur ma prochaine destination. Puisque je n’ai pas beaucoup joué a la JSK, je réfléchirai bien, car je ne veux pas revivre le même cauchemar la saison prochaine», nous a-t-il déclaré hier

                                                           K. A.

 Après le départ de Belkalem

qui le remplacera dans l’axe ?  

Le solide défenseur  Essaïd Belkalem  a paraphé un contrat avec le club italien Udinese,  cependant son remplaçant n’est pas encore connu. En effet,  le club phare de Kabylie a libéré deux défenseurs, à savoir Khelili et Maïza. Actuellement, il reste Rial et Benlamri qui peuvent jouer dans l’axe. Néanmoins, cela ne sera pas suffisant dans la mesure où l’un d’eux pourrait se blesser ou être suspendu. En plus du jeune Hikam, qui reste une solution, le club peut procéder au recrutement d’un défenseur axial pour avoir des doublures. Avec le départ de trois  défenseurs axiaux à la fois, à savoir Maïza , Khelili et Belkalem, le club sera dans l’obligation de recruter vu que la saison est très longue. Reste à savoir maintenant ce que décideront les dirigeants. C’est ce qu’on saura dans les toutes prochaines journées.

 

Son départ laissera un grand vide

Même si les dirigeants kabyles parviennent à recruter un autre défenseur axial, trouver un du niveau de Belkalem est très difficile. En effet, ce pur produit de l’école de la JSK possède d’énormes qualités et la place de titulaire qu’il a gagnée avec l’EN est la meilleure preuve. Revenant d’une grave blessure qui l’a éloigné des terrains pendant 9 mois, Belkalem a retrouvé son meilleur niveau en un laps de temps court, ce qui n’est pas donné à n’importe quel joueur. En résumé, le départ de Belkalem laissera un grand vide au sein de son équipe qui a besoin vraiment d’éléments comme lui étant donné qu’il était toujours un guerrier sur le terrain. Même les supporters sont contents pour lui d’avoir décroché un contrat professionnel en dépit que leur club, la JSK, a besoin encore de lui vu le plus qu’il peut apporter s’il est resté à la JSK.                                                                                            K. A.

 

 

 

 

 

 

Hannachi accepte les conditions d’Aït Djoudi

Le président Hannachi compte tout faire pour mettre le coach Aït Djoudi dans les meilleures conditions possibles. En effet, il veut le mettre à l’aise pour bien entamer sa mission. En acceptant toutes ses conditions, notamment son staff technique, il compte aussi lui accorder carte blanche. A la recherche d’un entraîneur depuis le limogeage de Nacer Sandjak, le choix de Hannachi est tombé sur Aït Djoudi qui connaît bien la maison. Afin d’éviter tout problème, surtout après tout ce que le club phare de la Kabylie eut vécu la saison écoulée, Hannachi a accepté les conditions de son entraîneur. Ce dernier, sans doute, ne trouvera aucune excuse à l’avenir vu que son employeur a accepté ses exigences afin de travailler dans les meilleures conditions.

Il le consultera même pour le recrutement

En plus d’avoir accepté le staff technique avec qui Aït Djoudi veut travailler, le président Hannachi compte le consulter dans l’opération recrutement. C’est ce qu’il a confirmé lors de l’une de ses déclarations. Ayant comme objectif que la JSK retrouve son meilleur niveau, il veut travailler en collaboration avec son nouvel entraîneur. En d’autres termes, on s’attend à ce qu’Aït Djoudi ait toutes les prérogatives sur le plan technique, ce qui lui permettra d’accomplir sa tâche convenablement. Sans doute, Aït Djoudi ne lésinera jamais sur les efforts pour bâtir une grande équipe capable de gagner des titres, comme ça été le cas en 2004 où il a remporté le titre de champion d’Algérie après un excellent travail.

Aït Djoudi veut refaire le coup de 2004

Même si sa tâche ne sera pas de tout repos, le nouvel entraîneur des Jaune et Vert compte relever le défi et, pourquoi pas, gagner des titres. Ayant réussi à gagner le titre en 2004, l’ex-entraîneur de l’EN olympique veut refaire le coup. Ayant eu la confiance de son président qui a accepté toutes ses conditions, Aït Djoudi fera tout pour que la JSK retrouve la place qu’elle mérite après les résultats catastrophiques enregistrés les dernières années.

                                                K. A.

 

 

 

 

Zerrara, ce qui reste à faire

La venue du milieu gauche, Toufik Zerrara, à la JSK, est  tributaire de l’offre du président Hannachi. Ce dernier lui a déjà fait sa première proposition, mais il devra encore faire un effort sur le plan financier pour le convaincre à signer. Très sollicité en cette intersaison, Zerrara est emballé pour jouer à la JSK pour peu que la direction kabyle l’estime à sa juste valeur. Le président Hannachi lui aurait proposé 150 millions de centimes, alors que le CSC lui a fait une offre de 200 millions de centimes par mois et l’ESS 190 millions. Auteur d’une belle saison avec la JSMB, Zerrara est l’un des meilleurs joueurs de notre championnat à son poste. Les dirigeants de la formation de la Soummam veulent le garder, mais faute de moyens financiers, ils assistent impuissants à son départ.

Hannachi insiste sur lui, mais

N’ayant réussi à recruter qu’un seul joueur d’expérience jusqu’à maintenant, le président Hannachi insiste sur Zerrara pour sauver son recrutement. Il ne lui reste que ce joueur et c’est pour cela qu’il tente tant bien que mal de trouver un accord avec lui. Il est en train de négocier serré avec son agent, mais jusqu’à hier aucun accord n’a été trouvé. Selon une source proche de la direction, le président Hannachi aurait fait une deuxième offre à Zerrara en lui proposant un salaire de 170 millions de centimes par mois. Cet élément a fait ses preuves avec la JSMB et les supporters ne veulent pas que le président Hannachi le perde pour une raison ou une autre.

Il rendra sa réponse à Hannachi dans 48 heures

Si le président Hannachi revoit encore à la hausse son offre, Zerrara signera sans nul doute à la JSK. Les dirigeants du CSC et de l’ESS font des mains et des pieds pour l’enrôler, mais le joueur accorde sa priorité à la JSK. Natif de la région, le désormais ancien pensionnaire de la JSMB souhaite porter le maillot des Jaune et Vert à condition bien sûr d’être estimé à sa juste valeur. La balle est dans le camp du président Hannachi, car le joueur a montré sa disposition à jouer à la JSK. Reste maintenant à savoir si la direction kabyle va répondre favorablement aux exigences du joueur.

N.B.

La JSK perd Gourmi

Le milieu de terrain Khaled Gourmi ne sera pas canari pour la saison prochaine. En effet, il aurait  paraphé un contrat  hier avec l’ESS avec qui il continuera son parcours, en dépit des efforts de Hannachi de le convaincre d’opter pour la JSK. Ainsi, Hannachi perd un joueur derrière l’autre après Derrag, Gharbi, Belkaroui pour ne citer que ceux-là. Misant sur Gourmi pour renforcer son milieu de terrain, Hannachi a perdu un autre pari. Il ne lui reste que quelques journées avant l’entame de la préparation pour sauver son recrutement.

 

 Hannachi Gardera-t-il Bouaïcha ?

Après avoir raté Gourmi, le président Hannachi pourrait garder le milieu de terrain Djamel Bouaïcha. En effet, le club phare de Kabylie a libéré plusieurs joueurs, à l’instar de Khelili, Boulaincer, Maïza, Bouchouk, Chalali et Belkalem qui a signé pour Udinesse. Cependant, trois joueurs seulement ont signé, à savoir Chibane, Madi et Aouedj. Une situation qui pourrait pousser le président Hannachi à garder Bouaïcha même s’il n’a pas beaucoup joué la saison écoulée. En tous les cas, Hannachi est dans l’obligation de renforcer l’équipe, ce qui n’est pas une simple affaire. D’ailleurs, il a raté tous les joueurs ciblés pour le moment en attendant de savoir ce qu’il fera lors des prochaines journées.

                                                           K. A.

 

Merbah ou Berchiche pour remplacer Belkalem

Après le départ de Belkalem, la direction kabyle compte recruter un défenseur pour le remplacer. Les dirigeants kabyles sont en contact avec Berchiche et même avec Merbah. L’un d’entre eux sera le remplaçant de Belkalem s’il trouve un terrain d’entente avec les dirigeants, bien sûr.

                                                           K. A.

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