Des entreprises publiques au secours des clubs professionnels

 

18 sur 32 clubs professionnels risquent de voir leurs licences et leur recrutement hivernal bloqués à cause de l’éternel problème d’endettement.

Les clubs n’arrivent plus à suivre et à chaque période des transferts c’est le même casse-tête qui ressurgit et c’est de plus en plus difficile depuis la décision de la FAF de passer à l’application des directives de la FIFA dont la fameuse circulaire 1628 très contraignante pour les clubs et leur avenir. Le gouvernement et les autorités qui restent à l’écoute de ce qui se passe dans le mouvement sportif et face à ces difficultés financières n’avaient pas d’autres choix que de bouger et de venir en aide au sport roi à travers une aide, cette fois qui va être la bonne, puisque et après avoir aidé dans un premier temps par des chèques du MJS et des sponsors, ils passent maintenant aux choses sérieuses et décident d’épouser le principe du professionnalisme en mettant à la disposition des clubs professionnels des partenaires économiques pour des investissement durables avec des conditions.

 

La FAF pour piloter le projet
En effet, et selon des sources crédibles, les pouvoirs publics ont décidé de lancer une grande opération pour venir en aide aux teams en difficulté.

C’est la FAF qui aura l’honneur de piloter le projet en question étant donné que c’est elle qui est en possession des différentes données et qui sera appelée à communiquer avec les clubs, d’ailleurs ces derniers ont été saisis par la FAF le week-end passé, des correspondances officielles qui prennent automatiquement le rôle de mise en demeure, étant donné que les clubs auront le temps nécessaire de réfléchir avant de répondre aux propositions, ce seront des réponses décisives pour l’avenir de certains clubs qui font face à une crise sans antécédent et qui sont carrément menacés de disparition si on se base sur le principe des mises en garde de la FIFA à travers ses dernières circulaires.

 

Jamais sans les 67%  

La FAF va donc proposer des sociétés et entreprises étatiques aux clubs, le rôle de ces dernières sera de parrainer les clubs et les prendre e charge, ça sera un investissement intéressant mais sous certains conditions.

En effet, la condition numéro 1 et qui aura du mal à convaincre sera incontestablement celle de céder 67% des actions à ce partenaire, soit à la manière du groupe Madar-Holding qui vient de reprendre le CRB de cette manière-là, seul ce pourcentage permettra aux entreprises concernées d’investir et d’avoir le plein pouvoir, le reste des actions restera du côté du club sportif amateur qui aura toujours une part du gâteau.

 

Risque

Il s’agit là donc d’une occasion en or qui s’offre aux clubs, notamment ceux qui sont en difficulté, pour le moment on sait que des équipes comme la JSS, le MCA, l’USMA ou encore le CRB et le CSC ne sont pas concernés, étant donné qu’ils ont trouvé leurs partenaires et semblent fonctionner normalement, mais pour le reste ça sera une décision dure à prendre, car si les clubs intéressés et qui vont se manifester verront enfin le bout du tunnel, les autres peuvent très rapidement galérer, ils devront s’assumer et se prendre en charge et surtout ne plus jamais contester ni se plaindre, ça sera aussi un dur examen pour des clubs tels que la JSK qui, malgré 9 sponsors, n’a toujours pas trouvé un partenaire qui assumera pleinement la gestion de l’image e des affaires du géant kabyle.

L’année 2018 va donc  prendre fin sur une bonne nouvelle et les fans de plusieurs équipes qui stressaient à cause des dettes vont bientôt souffler, en attendant de voir quels seront ces clubs qui oseront refuser une telle proposition et qui vont mettre en péril l’avenir et l’histoire de ces teams pour défendre leurs propres intérêts.

  1. M. A.

 

Alors que le Fenec veut mettre fin à son prêt

Ranieri prévoit une réunion avec les Foxes pour Slimani

 

Comme on le faisait savoir dans une de nos précédentes éditions, l’aventure de Slimani en Turquie pourrait tourner court puisque son club, le Fenerbahçe, voudrait mettre fin à son prêt. Intéressé par ses services, Ranieiri entend s’entretenir avec Leicester pour faire signer l’Algérien.

 

Ça ne s’arrange pas pour l’attaquant international algérien de Fenerbahçe Islam Slimani. En effet, ce dernier n’y arrive toujours pas et reste bloqué à trois petits buts en championnat. Pas forcément le meilleur ratio pour un buteur. Les choses ne s’améliorent pas et l’ancien de Leicester reste toujours autant critiqué par la presse locale qui ne laisse passer aucune occasion pour le descendre en flammes. Cependant, Claudio Ranieri, son ancien entraîneur à Leicester, pourrait bien être la bouée de sauvetage qu’attendait le joueur pour se relancer et sortir du cauchemar turc qu’il est en train de vivre. Et d’après le site mondial Goal, les choses commencent à s’accélérer pour Slimani puisque le coach italien de Fulham entend se réunir avec les dirigeants de Leicester pour parler de la faisabilité du transfert durant ce mercato d’hiver. Ranieiri est très intéressé et connaît la valeur du joueur et entend l’avoir pour l’aider dans sa mission de sauvetage des Londoniens.

 

Pas dans les plans d’Ursun Yanal

Il se trouve que Fenerbahçe a recruté un nouvel entraîneur en la personne d’Ursun Yanal. En effet, ce dernier entend relancer Soldado sur lequel il compte et Slimani ne serait pas forcément dans ses plans pour la suite du parcours. Cela va encourager les dirigeants du club à vouloir mettre fin à ce prêt le plus vite possible et ouvriront certainement la voie à Fulham pour tenter de récupérer Slimani dès le mois de janvier prochain.

 

Leicester souhaite un transfert sec

Maintenant, si cela va encourager les Londoniens à passer à l’action, les choses ne sont pas encore faciles pour les Cottagers. En effet, Leicester qui ne veut pas entendre parler du retour de l’attaquant algérien veut désormais en finir avec ce dossier et souhaite faire le nécessaire pour le transférer définitivement et récupérer quelques liquidités pour la suite du parcours. Maintenant, il faudra que Fulham sorte le chéquier pour s’adjuger les services de Slimani mais Ranieri compte tout mettre en œuvre pour essayer de l’avoir. Concernant le joueur, ce serait la meilleure porte de sortie car avec un coach qu’il connaît parfaitement, il sait que le temps de jeu ne sera pas un problème étant assuré d’être un titulaire en puissance et d’avoir plus de chance d’être sélectionné pour la prochaine édition de la CAN du moment que Belmadi a été très clair concernant  le temps de jeu.

  1. Z.

 

Une passe décisive et une Madjer

Darfalou enchaîne et offre la victoire à son équipe

 

Doucement mais sûrement, l’attaquant algérien du Vitesse Arnhem est en train de faire son trou et de devenir la référence offensive de son équipe.

 

Ayant eu un peu de difficultés à ses débuts en Erdevise et souffrant de quelques blessures qui l’ont pénalisé depuis l’entame de la saison sportive, Oussama Darfalou commence à s’imposer comme un titulaire indiscutable au sein de son équipe. Auteur de bonnes prestations et de buts importants, il a su gagner la confiance de son entraîneur qui lui fait de plus en plus confiance. Face à Venlo, l’Algérien était une fois de plus titulaire et allait encore une fois briller au cours de cette partie. Dans une partie qui a eu beaucoup de mal à se décanter, il y a eu deux ballons exploitables et c’est Darfalou qui a su les exploiter. La première, c’est sur la passe décisive qu’il offre à Odegard qui marque le premier but. Cependant, le plus beau allait arriver puisqu’à la 79e minute il allait marquer un but de toute beauté. Bien servi dans la surface, Darfalou met une Madjer et offre le second but pour son équipe. Il s’agit de son 4e en championnat et le 5e toutes compétitions confondues. L’ancien Usmiste monte en puissance et se veut plus ambitieux pour la suite du parcours. Avec ce succès, Vitesse Arnhem remonte à la 6e place et se bat pour une place européenne. Pour Darfalou, s’il continue d’être décisif et déterminant pour son équipe, il va certainement attirer le regard du sélectionneur national.

  1. Z.

 

Hattab : «Si on n’organise pas la CAN, ce n’est pas par manque d’infrastructures»

En visite de travail dans la wilaya de Mila, le ministre et au cours d’un point de presse tenu au siège de la wilaya est une fois de plus revenu sur l’organisation de la CAN 2019. Encore une fois, il a tenu à faire savoir que ce n’est pas un problème d’infrastructures assurant dans ce sens : «L'Algérie dispose d’infrastructures et établissement sportifs considérables  avec un total  de 53 complexes sportifs aux côtés des deux nouveaux complexes à réceptionner prochainement dans les wilayas  d'Oran et Tizi Ouzou.» Il a ensuite ajouté que «la non organisation de la CAN n’est pas due au manque d’infrastructures sportives, mais pour d'autres considérations et circonstances.» Sans en dire plus sur les circonstances en question.

 

Berraf : «On ne veut pas entrer dans des jeux malsains»

Le président de l’ACNOA avait lui aussi son avis sur cette histoire de non organisation de la CAN 2019 en Algérie et parle de jeux malsains que les dirigeants algériens veulent éviter. «Beaucoup de choses entrent en compte. Il y a la diplomatie, des gens qui travaillent dans ce pays et sans oublier bien sûr la FAF qui travaille. On doit respecter tous les avis et l’envie du peuple algérien. Cependant, notre pays est un grand pays et ne peut pas se permettre de rentrer dans ce genre de jeux malsains quel que soit le côté. J’espère que des pays frères comme l’Egypte et l’Afrique du Sud qui ont postulé pourront faire avancer les choses. On leur souhaite bon courage.»

  1. Z.

 

Bounedjah, un homme d’affaires veut l’offrir au Zamalek

Comme tout le monde le sait, Baghdad Bounedjah sera l’une des attractions durant le mercato d’hiver. Plusieurs équipes sont sur les rangs pour essayer de l’avoir. Plusieurs titres égyptiens ont donc parlé de la possibilité de le voir au Ahly mais le joueur avait démenti l’information. Toutefois, le Zamalek serait entré dans la danse et le site Egysaudi revient avec une information intéressante puisqu’un homme d’affaires aurait proposé de prendre en charge le transfert du joueur et même son salaire. Cependant, les choses risquent d’être encore plus compliquées du moment que pour l’heure, Al-Sadd n’entend pas le libérer d’après la même publication. Maintenant, si une offre d’Europe arrive sur les bureaux d’Al-Sadd, les choses vont changer puisque Bounedjah n’a pas caché son envie de faire une aventure en Europe pour passer un nouveau cap dans sa carrière.

  1. Z.

 

 

 

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